Première réponse de Jean-Pierre Bobillot qui a bien reçu ARTHUR RIMBAUD, un effaré en Douai
cheR Xian-edZ ;
un mot tRéVite POuR accuser (ârgl !) Ré;cepcheûne de ton enVoiX picardo-rimbaldien...
là, je termine mes Ré;POnses POuR un "entRetien de fond" à parêtRe dans la Re;Vuë inteR (QbeC)
: gRos boulot & délai minimal (comme d'Hab, Qoi...), le neZ dans le
guidon une bonne 10aine de jours d'affilée... je suis vanné ! &
j'ai toujours mon article suR le dargnier & eXcellentissime volomPHe du Kamarad d'abRigeon à faire, POuR sitaudis !...
ensuite, donC, Re;touR à arTHuR (un peu) & enVoiX liVresQe en Re;touR vers toi, etc.
more sOOn,
amiciZia senZa pericolo,
Hans piet
ps :
ci-joint, projet de 4e de couV POuR rimbaud, THiers, pétain & apRès :
Rimbaud–c’est là ce qui fait de lui un poète d’exception–a d’emblée conçu et pratiqué la poésie politiquement. Lecteur impitoyable,il eut tôt fait de débusquer chez ,Ro-‐mantiques et Parnassiens tout ce qui faisait de leur poésie – manières, propos et matières–une alliée ou complice de choix de toutes lesoppressions : religieuse, morale, politi-‐que, sociale, économique, familiale, sexuelle, etc. De cette lucide négativité, il fit œuvre –dans le contexte historique troublé et conflictuel des années 1869-‐1875–, mettant en pièces avec rage et méthode chacune des composantes du «langage poétique» hérité : autant–sous couvert d’Har-‐monie,de Beauté et d’Absolu–de conditionnements mor-‐tifères, d’impératifs ou d’interdits asphyxiant dans l’œuf la moindre prise de conscience ou velléité d’émancipation. «Poète bruyant, chercheuR de POuX, POusseuRde bou-‐chons», Jean-‐Pierre Bobillot a publié Rimbaud: le meurtre d’Orphée. Crise de Verbe et chimie des vers ou la Commune dans le Poème (éd. Champion, 2004) : il aggrave son cas
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire