samedi 26 septembre 2020

SOUSCRIPTION ! pour L' Effaré.

Au gibet noir, marchant aimable                             Dansent, dansent les paladins,                               Les maigres paladins du diable,                            Les squelettes du Saladins...                                - Arthur Rimbaud, extrait du : BAL DES PENDUS.

Afin de fêter les 16 ans d'Arthur Rimbaud, le 20 octobre prochain, alors qu'il y a 150 ans, il était à Douai, je vais publié à 150 exemplaires L'Effaré, l'essai que j'ai rédigé et je lance une souscription. L'ouvrage sous forme d'un n° hors série de la revue-zine [format 21 x 29,7, 60 pages environ] sera disponible contre 10 euros (port compris. Les tarifs postaux nous assassinent) et cela dans l'attente de l'édition sous forme d'un vrai livre qui sera lui transmis ultérieurement à tous les souscripteurs.

Pour tout contact & renseignements : Christian.dequesnes@sfr.sfr

J'ai opté pour cette formule suite à ce que je décrit ci dessous.

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FINALEMENT…

Globalement, je suis effaré ! très bientôt, à Douai, une vraie journée d'anniversaire que je désire fêter, en franc-tireur, à ma manière ! j'ai prévu, j'avais prévu de publier, de faire publier un essai que j'ai "travaillé" avec l'aide de quelques Camarades (Pascal Lenoir, Jacques Cauda, Jean-Paul Gavard-Perret, Ivar Ch'Vavar, L'âne qui butine) 'Un effaré à Douai', au sujet des deux passages, entre septembre et octobre, il y a 150 ans d'Arthur Rimbaud dans la cité de Gayant, ma ville natale ; mais successivement avec des événements et non-événements également ! suite à la crise de la covid19, de singularités constatées et subies, j'ai décidé et je me suis conforté dans l'idée de réaliser ce que j'ai à faire, de l’exécuter en franc-tireur. Juste avant le confinement, il m'avait été proposé, une demande locale, que soit prise en charge l'édition de l'essai que j'ai rédigé et cela à la suite, avec exactitudes, j'ai pris soin d'en exposé son contenu : pas de révélations ! mais juste un plus large possible inventaire des informations éparses, de ci et de là, sur Arthur Rimbaud et Douai, en effet il me semble, et toujours à ce jour, que jamais un ouvrage n'a été consacré à cela !? mais il est possible que je me trompe ; j’ai aussi rédigé toute une partie que je crois assez complète, au sujet de l'émergence de l'inspiration de : Chanson de la plus haute tour, en campagne douaisienne en 1870 ; enfin à sa suite, un final très personnel, sans que j'en saisisse alors une raison profonde, un parallèle, avec une chanson de Bob Dylan, tout cela pensé et écrit bien avant la crise sanitaire de la covid19 mais qui de manière métaphorique avec cette crise et ses développements, prends à mes yeux, aussi aux regards de quelques autres, tout son sens, puis plus encore par le surgissement de cette pétition, pour le moins ridicule, de faire entrer Arthur Rimbaud et Paul Verlaine au Panthéon. Mais quelques temps après le début du déconfinement, il m'a été signifié par ceux qui m'avaient fait promesse qu'il jetaient l'éponge en quelque sorte, qu’ils ne publieraient pas, cet essai car on y apprend rien de nouveau, ce qui est vrai, quoique que !?, et que je n'ai jamais fait annonce du contraire puisque cela serait en ce qui me concerne bien prétentieux et ridicule. J'ai aussi été contacté, avant le confinement, par une association qui réalise une série de clips vidéos à partir des poèmes des Cahiers de Douai d'Arthur Rimbaud, j'ai reçu chez moi les porteurs de ce projet et après avoir exprimé certains avis et propositions, réserves aussi, demandé certains éclairages pratiques, techniques, partagé encore mes motivations profondes et intimes en rapport à Arthur Rimbaud, je n'ai jamais été recontacté malgré, là encore d'une promesse donnée, mais non tenue, avant de nous dire au revoir d’être recontacté, c’est demeurée sans suite.
Donc, je l'affirme à nouveau, c'est en franc-tireur que je vais faire en sorte que cet essai soit publié, même si c'est de 'l'inabouti abouti', pour célébrer plus être la plus symbolique date d'anniversaire qui arrive ! les 16 ans, le 20 octobre, il y a 150 d’Arthur Rimbaud à Douai. À nouveau, je remets  en pratique la même stratégie que nous avions adopté, en 2018, avec Ivar Ch'Vavar afin de rendre publique... [sous forme d’une publication indépendante de tout (n°ISSN : 2498-1796, autonme 2018) d'un hors-série (n°14) de la revue-zine : Aux robes de Rimbaud) ...son importante proposition de relecture, dans une chronologie différente et argumentée par une très longue note, de VERS NOUVEAUX d'Arthur Rimbaud que par la suite les éditions Lurlure d'Emmanuel Caroux ont eu la judicieuse initiative de publier sous la forme d'un véritable livre.

Et ce sera, là, certainement ma dernière publication sous forme de fanzine, des publications que j’ai réalisé depuis le début des années quatre-vingt.

Christian-Edziré Déquesnes, Douai, le 25.09.2020.

mardi 22 septembre 2020

EN FRANC-TIREUR ! personnel mais important que je l'exprime... :


Globalement, je suis effaré ! trés bientôt, à Douai, une vraie journée d'anniversaire que je désire fêter, en franc-tireur, à ma manière ! . J'ai prévu, j'avais prévu de publier, de faire publier un essaie que j'ai "travaillé", avec l'aide de quelques Camarades (Pascal Lenoir, Jacques Cauda, Jean-Paul Gavard-Perret, Ivar Ch'Vavar, L'âne qui butine) 'Un effaré à Douai', au sujet des 2 passages, entre septembre et octobre, il y a 150 ans d'Arthur Rimbaud dans la cité de Gayant ; mais successivement avec événements et non-événements aussi ! suite à la crise de la covid19, de singularités constatés de la part de la ville de Douai, d'associations et initiatives culturelles locales, afin de célébrer ce temps, j'ai décidé et je me suis conforté dans l'idée de réaliser ce que j'ai à faire en franc-tireur. Juste avant le confinement, il m'avait été proposé, une demande locale, que soit prise en charge l'édition de l'essaie que j'ai rédigé et cela aprés qu'avec exactitudes j'ai pris soin d'en exposé son contenu : pas de révélations ! mais juste un plus large possible inventaire des informations éparses, de çi et de là, sur Arthur Rimbaud et Douai car il me semble, et toujours à ce jour, que jamais un ouvrage n'a été consacré à cela !? mais il se peut que je me trompe ; aussi rédigée toute une partie que je crois assez complète au sujet de l'émergence de l'inspiration de : Chanson de la plus haute tour, en campagne douaisienne en 1870, enfin à sa suite un final trés personnel, sans que j'en saississe alors une raison profonde, et intuitive en lien, paralléle, avec une chanson de Bob Dylan, pensée et écrite bien avant la crise sanitaire de la covid19 mais qui de manière métaphorique avec cette crise et ses développement, prends à mes yeux et aux regards de quelques autres tout son sens, de plus aussi par le surgissement de cette pétition pour le moins ridicule de faire entrer Arthur Rimbaud et Paul Verlaine au Panthéon. Mais quelques temps aprés le début du déconfinement, il m'a été signifié que par ceux qui m'avait promis qu'il jettait l'éponge, ne publierait pas, cet essaie car on y apprenait rien de nouveau, ce qui est vrai, quoique que !?, et que je n'ai jamais annoncé le contraire car cela serait bien prétentieux et ridicule en ce qui me concerne. J'ai aussi été contacté, avant le confinement, par une association qui réalise une série de clips vidéos à partir des poèmes des Cahiers de Douai d'Arthur Rimbaud, j'ai reçu chez moi les porteurs de ce projet et aprés avoir exprimé certains avis, réserves aussi, demandé certains éclairages pratiques et techniques, mes motivations profondes et intimes en rapport à Arthur Rimbaud, à la suite, je n'ai jamais été recontacté malgré la promesse donnée avant de nous dire au revoir de l'être. En 2019, à la suite de la parution de "mon" : L' Evangile BleuNUIT (Z4 éditions), j'ai été reçu par l'adjointe à la culture de la ville de Douai et alors je lui avais notamment exprimé selon moi l'importance de l'anniversaire, pour 2020, des 150 ans des passages de Rimbaud à Douai et de quelques idées afin de célébrer l'événement ; là, encore tout cela est demeuré lettre morte.

 
Donc, je l'affirme à nouveau, c'est en franc-tireur que je vais faire en sorte que cet essaie soit publié et même si c'est de 'l'innabouti abouti' afin de célébrer la vraie date d'anniversaire qui arrive ! je vais remettre en pratique la même statégie que nous avions adopté, en 2018, avec Ivar Ch'Vavar afin de rendre publique... , sous forme d'une publication officielle (n°ISSN : 2498-1796, autonme 2018) d'un hors-série (n°14) de la revue-zine : Aux robes de Rimbaud, ...son importante proposition de relecture, dans une chronologie différente et argumentée par une trés longue note, de VERS NOUVEAUX d'Arthur Rimbaud et que par la suite les éditions Lurlure d' Emmanuel Caroux ont eu la judicieuse initiative de publier sous la forme d'un véritable livre.
Enfin, si quelques personnes désirent m'apporter soutien et aide, pas de promesses s'il vous plait !, qu'elles se manifestent. - Christian-Edziré Déquesnes, Aux robes de Rimbaud, le 22.09.2020.
- Dessins fraternels d'Arthur Rimbaud de Jacques Cauda.



lundi 14 septembre 2020

- 9. Il y a 150 ans, jours pour jours, ARTHUR RIMBAUD est toujours à Douai... et il y trouve l'inspiration de la Chanson de la plus Haute Tour...


...C'est aussi durant l'un de ses séjours à Douai, que Rimbaud aurait eu l'inspiration de la Chanson de la plus Haute Tour. Ce poème date du printemps 1872, et nous en connaissons trois versions, très proches, (la troisième transcrite, peut-être de mémoire, au moment de la rédaction d'Une saison en Enfer). S'il y a eu une première version écrite à Douai, elle a du être différente, mais son existence est improbable, mais Georges Izambard se souvient dans son live Rimbaud tel que je l'ai connu qu'Arthur en a eu l'inspiration lors ou suite à une promenade au parc du château de Wagnonville, sur la route de Flers-en-Escrebieux au nord de Douai...


...Mais où Bob Dylan ne s'est jamais démenti c'est en confiant qu'Arthur Rimbaud est pour lui d'une très haute importance. Alors de manière instinctive, tant pis si je m'expose ici à m'entendre accuser d'hérésie, j'avance que 'All Along Watchtower/Tout au long de la tour de guet' à cause de la manière dont cette chanson est troussée, avec en 'boucles' une espèce d'effet de ritournelle en similitude avec la version de la Chanson de la plus Haute Tour de Colette Magny, qu'il y a bien là, peut-être, un lien, des liens avec ce "poème" d'Arthur Rimbaud...


...alors j'y entends, j'y vois... qu'il s'agit d'une conversation entre le Joker (le troubadour symbolisant l'artiste) et le voleur. Le premier (Bob Dylan, Arthur Rimbaud ?) angoisse. Il a l'impression que personne ne comprend son travail et qu'il est exploité.

Le voleur, lui aussi en marge de la société (Paul Verlaine), lui explique qu'au moins, lui comme l'artiste, connaissent la vraie valeur de la vie alors que les autres se racontent des histoires.

La chanson de Bob Dylan s'achève avec nos deux personnages se rapprochant du château (et de son donjon/watchtower)* et des princes, symboles de l'ordre établi. La confrontation est imminente...

- extrait de l'essaie à paraître : Un éffaré à Douai 
de Christian-Edziré Déquesnes.



* Ce jour, je rédige la note qui suit.
- En ces heures d'aujourd'hui quand une imbécile pétition circule en France pour soumettre qu'Arthur Rimbaud & Paul Verlaine doivent être enterrés au Panthéon, symboliquement ne faut-il pas voir dans cette tour, le château et son donjon, ce bâtiment-monument institutionnel qui aurait certainement bien pu inspirer, à Rimbaud et Verlaine, un tel dialogue comme celui que l'on découvre entre le troubadour et le voleur dans la chanson All Along Watchtower de Bob Dylan ; et si on allait questionner ce que j'avance du côté de La théorie des cordes et de la physique Quantique ?

samedi 12 septembre 2020

EVENEMENT ! médiathèque de Berck, samedi 19 septembre, lectures croisées en berckois et en français de Georges Baillet et d’Ivar Ch’Vavar.


                                                         Tableau de Jacques Cauda.


Ivar Ch'Vavar lisant un extrait du long poème 
Berck-Plage de SYLVIA PLAT.
- mise en son et vidéo Antoine Thoury -

samedi 19 septembre, 17 heures pétantes

lectures croisées en berckois et en français

de Georges Baillet et d’Ivar Ch’Vavar

Médiathèque de Berck

50 rue Gabriel Péri, derrière le casino

(ancienne gare routière)

parkings gratuits à proximité immédiate.

Renseignements et réservations :

https://mediatheques.ca2bm.fr

ou 03.21.89.49.49

ENTRÉE GRATUITE

 

ATTENTION !

le covid oblige la médiathèque 

à limiter le nombre d’entrées

il est donc fortement conseillé 

de réserver sa place

Renseignements et réservations :

https://mediatheques.ca2bm.fr

ou 03.21.89.49.49