Il a été question d'Arthur Rimbaud et Douai, de Bob Dylan aussi et plus largement de poésie, Le 21 juin dernier, lors d'une fort agréable après-midi, avec Jus de fruit, café et biscuits, en la bibliothèque de Richebourg (Pas-de-Calais) avec Christian-Edziré Déquesnes qui a su capter l'attention de tous, une vingtaine de personnes, afin de main de maître durant sa première présentation de l'ouvrage collectif, Les inédits de Rimbaud, c'est nous, dont il a dirigé la réalisation ; une réussite dans une ambiance décontractée avec une formule interactive voulue par Christian-Edziré en privilégiant, les échanges et les réponses aux questions des participants, notamment autour des tableaux du peintre Jacques Cauda, des collages de Jocelyne Di Guiseppe ed Dwai et une calligraphie d'Anne Elisabeth-Klein qui figurent dans le livre présenté et paru aux éditions Duroo et distribué par Hachette.
J'ai pu écouter cette émission et j'avoue avoir été très surpris par le comportement de l'animateur radio, et ce qui m'a été confirmé par une personne présente dans le studio et aussi des Camarades auditeurs de France & Belgique, qui monopolisait la parole, coupait la parole des intervenants quand il leur avait donné avec un leitmotiv, sa phrase fétiche ?, On en reparlera plus tard... mais bien-sûr sans jamais revenir sur les propos interrompus. Certainement comme beaucoup d'autres auditeurs, j'aurai souhaité savoir de quelle manière, comment et pourquoi s'est construit ce collectif d'auteurs et d'artistes pour cet ouvrage collectif autour du poète aux semelles de vent à partir de l'écrit de Christian-Edziré Déquesnes Arthur Rimbaud, un effaré à Douai... Mais visiblement Monsieur Jehan, le "présentateur" est plus enclin à se mettre en premier lieu en représentation pour ces quelques alter-égo qui l'écoutent, lors ses émissions Ondes de choc de ce qu'il anime sur Radio Libertaire de Paris ou le cas échéant, on me l'a rapporté, on verse de la flotte de l'eau du robinet aux invités.
Au final, il a été fort peu question du livre et de ce qui gravite autour alors que ses 3 ambassadeurs, Gilbert Bourson, , Jacques Cauda et Christian-Edziré Déquesnes, présents autour des micros, notamment Christian-Edziré aurait pu nous embarquer dans un bateau bien plus ivre, mais vous me direz avec de l'eau que dis-je de la flotte !, du robinet, que ce les traditionnels rimbaldiens nous resservent depuis bientôt plus de 100 ans.
Pourtant l'émission avait du tout de même été préparée, par qui ? avec visiblement de la pertinence puisque Christian-Edziré est rentré, à Douai, avec deux documents photocopiés et rapportés mais délaissés par Mr Jehan, car trop préoccupé à étaler sa science et sa culture, récupérés au terme de l'émission sur la table du studio qui aurait du offrir à cette émission d'avoir une toute autre allure, originalité et de prendre un envol poétique au delà de Rimbaud avec le géant Gayant de Douai, Big Brother de Wells, même Dylan Thomas puis un Dylan pouvant en cacher un autre nous n'aurions pas été au bout de nos surprises... Christian-Edziré m'a fait promesse d'y revenir, au plus vite, sur ces deux documents, donc à suivre...
Bref ! même à Radio Libertaire en Paris, la parole ne serait pas totalement libre mais juste de libre de se taire en effet puisque Liber & taire vont, ici, de paire, mon cher Watson, du moins dans Ondes de choc car je n'irai pas jusqu'à généraliser, ce que Mr Jehan a l'air de faire promptement avec tout, puisque je n'ai jamais écouté le reste de la grille de la programmation.
Le dernier mot et il n'est pas d'excuse : regrettable.
Arthur Linédits.
Gilbert Bourson, Jacques Cauda & Christian-Edziré Déquesnes
Gilbert Bourson, Jacques Cauda & Christian-Edziré Déquesnes
j'ai reçu CELA de Jutta d'Allemagne en échange de CECI...
...La/les Muze Hic(s) ! et la/les cultures sont, avant tout, chose(s) que l'on partage alors si ce type d'échanges vous intéresse renseignements & contact===> ===>christian.dequesnes@sfr.fr
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