Les dessins aquarelles sont de Jacques Cauda
à Jacques Cauda
Au milieu du vide de vos nuits,Je n'ai nul besoin de me masturber
Aux barbelés de vos amours saccagés.
Que savez vous de Géo Libbrecht pour le citer ?
En son jardin du Mont Aubert, cet hiver,
J'y suis retourné en célébrant la mort de mon père
Et y entendre en secret que le Roi,
Arthur, n'est pas disparu alors que vous...
...Pfff ! avec vos mots ronflants.
Pan ! Pan ! et sexes magiques...
Puis finir vendeur de fusil pour flinguer la misère.
Et du grand trou du noir total ?
Pour oser prétendre que vous auriez percé
Le beau Stetson de Stagger Lee alors que Pan !
Pan ! Il n'en est rien au grand Lala du bateau.
Ne venez pas venir, ici, me critiquer de la baleine blanche
La queue devenue noire, toute noire ! Chaù Blake !
Et vive le JAAAck cette Queue qui mord
Tels les embruns de La Mer du Nord
Sur la parois du casino d'Ostende.
Pan ! Pan ! et sexes magiques...
Puis finir vendeur de fusil pour flinguer la misère.
Alors que vous NOUS guettez dans l'ombre
Tout en espérer pointer comment NOUS blesser
Visiblement au parcours du s.o.s de vos poèmes
Vous n'avez plus rien à raconter,
Le rap est mort, le rapt est dans la trappe
Car votre progéniture brûle dans la démence
De ce que vous nommez votre remembrance...
Voilà, bien ! le nouveau mot à la mode
Dans le nouveau mode des poètes virtuels.
Bref, vous êtes cuites & cuits
Mais aucunement aux chants des oiseaux.
Vous vous croyiez divins et Muse à l'occasion
Alors que vous n'êtes qu'une roue froissée
De paon dressé à la tête de la pierre tombale
De la dé-pensée de l'ampleur des amplifications
D'aggravations que vous cultivez à en crever.
Pan ! pan ! et sexes magiques...
Puis finir vendeur de fusils pour flinguer la misère.
C'est juste dans les parallèles quantiques des cordes
Que la poétique se fait Musique.
Pan ! pan ! et sexes magiques...
Puis finir vendeur de fusils pour flinguer la misère.
Une enfant pleure et se meurt dans la nuit.
Christian-Edziré Déquesnes,
en Dwai durant la nuit du 31.01 et 01;02.2020